Les nouveaux programmes des lycées en France à la rentrée 2011 imposent la théorie du GENDER comme un absolu.
Cette théorie, qui trouve des fondements dans les revendications des milieux féministes américains dans les années 70, veut déconstruire tout ce qui peut rappeler les normes d’une société fondée sur la différence sexuelle : autrement dit : être homme ou femme n'a pas
d'importance : seuls les déterminismes sociaux nous font pencher vers une orientation sexuelle et cela conduit donc à un relativisme anthropologique des plus pernicieux et destructurant !
Pour résumer : c'est une entreprise de démolition généralisée de l'identité de l'être humain qui est à l'oeuvre au sein de la noble Education Nationale.
Dans les lycées de France, va être sabordé en douceur mais de manière radicale et extrêmement nette, la conception d'une société basée sur une altérité et une complémentarité HOMME/FEMME. Et d'une portée bien plus grande que les questions morales qui touchent à des choix importants (avortement ; euthanasie), la théorie du Genre va anéantir non seulement la société dans ses structures mêmes, mais aussi l'être humain lui-même, qui perdra des repères fondamentaux.
Une mobilisation s'impose !
Je ne suis ni anthropologue, ni psychologue ; ma formation ne peut prétendre à avoir un regard bien éclairé sur ces questions : mais il faut avoir de la merde dans les yeux pour ne pas comprendre qu'on est en train, avec l'aide de lobbies qui travaillent sans doute en sous-marins, d'assassiner des principes fondamentaux d'une vie en société ou chacun, qu'il soit homme ou femme puisse être respecté et accueilli dans son identité. Car toute personne humaine est une histoire sacrée. Nous ne sommes pas des êtres interchangeables.
Cette question me semble d'une gravité immense et d'une urgence absolue !