Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

 Le presbytère virtuel d'un prêtre

Le presbytère virtuel d'un prêtre

Site d'un prêtre catholique engagé au cœur du monde... Voici mon presbytère virtuel, sans porte ni sonnette. Entrez, et venez voir ! Vous voulez voir à quoi ça ressemble un cyber curé ? Venez donc faire un tour chez moi ! La vie c'est trop important pour ne pas la réussir ! .... . . C'est aussi mon objectif ... Pas vous ?


Jusqu’à ce qu’il voit son image en Toi...

Publié par inconnu sur 28 Septembre 2010, 22:46pm

Catégories : #Textes de réflexion

Il y avait un groupe de femmes qui étudiait la Bible, notamment le livre de Malachie.

 

Comme elles en étaient au chapitre 3, elles en arrivèrent au verset 3, qui  dit :

« il les affinera comme on affine l’or et l’argent. »

 

Ce verset les étonna et elles se demandèrent ce que cela pouvait bien dire de la manière d’être de Dieu, de sa nature.

 

Une des femmes offrit de se renseigner sur le processus d’affinage de l’argent et de le rapporter au groupe à leur prochaine rencontre

 

Cette semaine-là cette femme appela un forgeron et prit rendez-vous avec lui pour le regarder travailler. Elle ne mentionna rien de la raison de son intérêt pour l’argent et sur son processus de purification .

 

Pendant qu’elle le  regardait,  le forgeron prit un lingot d’argent et le mit à le chauffer.

 

Il expliqua que dans le processus de raffinage, il était nécessaire de tenir la pièce au milieu des flammes, là où le feu est le plus chaud pour détruire toutes les impuretés.

 

La femme pensa à Dieu nous tenant dans un endroit si chaud, et pensa à nouveau au verset : « il est assis là comme un raffineur et un purificateur d’argent. »

 

Elle demanda au forgeron si c’était vrai qu’il devait rester là, devant le feu, tout le temps que l’argent était purifié.

 

L’homme répondit que oui, qu’il ne devait pas seulement se tenir là, mais qu’il devait garder ses yeux fixés sur le lingot tout le temps qu’il était dans le feu : si la pièce était laissée un peu trop dans les flammes, elle serait détruite.

 

La femme resta silencieuse pendant un moment. Puis elle demanda au forgeron :

« Comment savez-vous que l’argent est purifié ? »

 

Il sourit et répondit :

« Oh, c’est facile… c’est quand je me vois dedans ! »

 

 

Si aujourd’hui tu ressens la chaleur du feu, souviens-toi que Dieu a son regard fixé sur toi et qu’il continuera à te regarder jusqu’à…

Ce qu’il voit son image en toi !

Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
Commenter cet article
L
<br /> <br /> Juste cette histoire vraie que je viens de découvrir et nous montre ce que l'Espérance, l'amour de Dieu, l'amour pour Dieu , la confiance, notre foi ! peuvent nous apporter. Après une neuvaine<br /> avec Sainte Thérèse de Lisieux qui est ma sainte, je découvre oh ! combien de  personnes qui aiment Dieu de tout leur coeur et sans condition tout en souffrant elles-même.  Cela nous<br /> fait avancer lentement certes mais nous avançons et c'est l'essentiel.<br /> <br /> <br /> Que la prière des saints nous aide à progresser sur le chemin de la vie éternelle.<br /> <br /> <br /> "J'ai trois clefs du paradis. La plus grande est de fer brut et pèse lourd, c'est ma souffrance. La deuxième est l'aiguille à coudre. La troisième est le porte-plume", dit Anne Schaeffer<br /> (1882-1925)<br /> <br /> <br /> La souffrance, Anne Schaeffer la connaît depuis l'âge de 19 ans, quand, employée de maison, elle est tombée des deux pieds dans une bassine de lssive bouillante et est devenue invalide. Après de<br /> vaines tentatives de révolte, l'amour de Dieu répandu dans son coeur" lui fait accepter son état avec joie car elle peut désormais s'unir au Christ souffrant. L'aiguille à coudre est celle avec<br /> laquelle elle brode le Sacré-Coeur de son Bien-Aimé dont elle reçoit quotidiennement l'eucharistie. Anne, qui est tertiaire franciscaine, reçoit aussi les stigmates drès 191O, le jour de la fête<br /> de saint François. Avec le porte-plume, elle noircit douze carnets de ses pensées et rédige une correspondance fournie, véritable oeuvre d'apostolat. Anne Schaeffer offre ses douleurs incessantes<br /> pour le salut des âmes et s'éteint paisiblement à l'âge de 43 ans.<br /> <br /> <br /> <br />
Répondre
C
<br /> <br /> Bin moi je veux bien qu'Il m'affine! ;-)<br /> <br /> <br /> <br />
Répondre
L
<br /> <br /> Je souhaite de tout mon coeur qu'il voit son visage en moi!<br /> <br /> <br /> <br />
Répondre

Archives

Nous sommes sociaux !

Articles récents