Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Archives

Publié par Miniritou

« A force de tout voir l’on finit par tout supporter…

A force de tout supporter l’on finit par tout tolérer…

A force de tout tolérer l’on finit par tout accepter…

A force de tout accepter l’on finit par tout approuver ! »


[Saint Augustin]

Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
Commenter cet article
C
Merci! Mais les sources SVP.
Répondre
A
<br /> tout est dans la nuance entre les mots supporter, tolérer, accepter et approuver.<br /> <br /> <br /> et la question est : que peut-on supporter, tolérer, accepter, et approuver ?<br /> <br /> <br /> je pense qu'il faut supporter le mal qu'on nous fait ; il faut tolérer l' imperfection des autres; il faut accepter les différences mais il ne faut pas approuver le mal fait aux autres, surtout<br /> aux plus petits.<br /> <br /> <br /> j' ai lu ailleurs: "on n' a jamais raison devant un enfant qui pleure.."<br /> <br /> <br /> anne-marie<br /> <br /> <br /> http://croire-tout-simplement.e-monsite.com<br />
Répondre
A
<br /> Paroles du pape François avant l’angélus<br /> <br /> <br /> Frères et sœurs, bonjour !<br /> <br /> <br /> Après la première rencontre de mercredi dernier, aujourd’hui à nouveau je peux adresser mon salut à tous ! Et je suis heureux de le faire un dimanche, le jour du Seigneur ! C’st beau et important<br /> pour nous chrétiens de nous rencontrer le dimanche, de nous saluer, de nous parler comme maintenant, ici, sur cette place. Une place qui, grâce aux médias, a les dimensions du monde.<br /> <br /> <br /> En ce cinquième dimanche de carême, l’Evangile nous présente l’épisode de la femme adultère (cf. Jn 8,1-11), que Jésus sauve de la condamnation à mort. L’attitude de Jésus touche : nous<br /> n’entendons pas des paroles de mépris, nous n’entendons pas des paroles de condamnation, mais seulement des paroles d’amour, de miséricorde, qui invitent à la conversion. "Moi non plus, je ne te<br /> condamne pas. Va, et désormais ne pèche plus !" (v. 11). Eh!, frères et soeurs, le visage de Dieu est celui d’un père miséricordieux, qui prend toujours patience. Avez-vous pensé à la<br /> patience de Dieu, la patience qu’il a avec chacun de nous ? C’est sa miséricorde. Il prend toujours patience, patience avec nous, nous comprend, s’occupe de nous, il ne se lasse pas de nous<br /> pardonner si nous savons revenir à lui avec le cœur contrit. "Grande est la miséricorde du Seigneur", dit le psaume.<br /> <br /> <br /> Ces jours-ci, j’ai pu lire un livre d’un cardinal – le cardinal Kasper, un théologien très bien, un bon théologien – sur la miséricorde. Ce livre m’a fait tant de bien, mais ne croyez pas que je<br /> fais de la publicité pour les livres de mes cardinaux ! Ce n’est pas cela ! Il m’a fait tant de bien, tant de bien … Le cardinal Kasper disait que faire l’expérience de la miséricorde change<br /> tout. C’est la plus belle parole que nous puissions  entendre: elle change le monde. Un peu de miséricorde rend le monde moins froid et plus juste. Il nous faut bien comprendre cette<br /> miséricorde de Dieu, ce Père miséricordieux qui a tant de patience … Rappelons-nous du prophète Isaïe, qui affirmait que même si nos péchés étaient rouges comme l’écarlate, l’amour de Dieu les<br /> rendrait blancs comme la neige. C’est beau, la miséricorde!<br /> <br /> <br /> Je me souviens qu’à peine nommé évêque, en 1992, la Vierge de Fatima est arrivée à Buenos Aires et l’on a fait une grande messe pour les malades. Je suis allé confesser, durant cette messe. Et<br /> presqu’à la fin de la messe, je me suis levé parce que je devais administrer une confirmation. Une dame âgée est venue vers moi, humble, très humble, à plus de 80 ans. Je l’ai regardée et je lui<br /> ai dit : "Grand-mère – parce que chez nous on s’adresse  ainsi aux personnes âgées : grand-mère – vous voulez vous confesser ?". "Oui", m’a-t-elle dit. "Mais si vous n’avez pas péché<br /> …". Et elle m’a dit : "Nous faisons tous des péchés …". "Mais peut-être que le Seigneur ne les pardonne pas …". "Le Seigneur pardonne tout", m’a-t-elle dit, assurée. "Mais comment le savez-vous,<br /> madame ?". "Si le Seigneur ne pardonnait pas tout, le monde n’existerait pas". J’ai eu envie de lui demander: "Mais dites-moi, madame, vous avez étudié à la Grégorienne ?" (l’université<br /> pontificale confiée aux jésuites, à Rome, ndlr), parce que c’est la sagesse que donne l’Esprit-Saint : la sagesse intérieure sur la miséricorde de Dieu.<br /> <br /> <br /> N’oublions pas cette parole : Dieu ne se lasse jamais de pardonner, jamais ! "Eh, père, quel est le problème?". Eh, le problème est que nous, nous nous lassons, nous ne voulons pas, nous nous<br /> lassons de demander pardon. Il ne se lasse jamais de pardonner, mais nous, parfois, nous nous lassons de demander pardon. Ne nous lassons jamais, ne nous lassons jamais ! Il est le Père amoureux<br /> qui toujours pardonne, qui a un cœur de miséricorde pour nous tous. Et nous aussi, apprenons à être miséricordieux avec tous. Invoquons l’intercession de la Vierge qui a eu entre ses bras la<br /> Miséricorde de Dieu fait homme.<br /> <br /> <br /> A présent prions tous ensemble l’Angélus.<br /> <br /> <br /> Après la prière de l’angélus<br /> <br /> <br /> (En italien)<br /> <br /> <br /> J’adresse un salut cordial à tous les pèlerins. Merci de votre accueil et de vos prières. Priez pour moi, je vous le demande. J’embrasse à nouveau les fidèles de Rome, et vous tous, qui venez de<br /> divers endroits de l’Italie et du monde, ainsi que tous ceux qui sont unis à nous grâce aux moyens de communications. J’ai choisi le nom du saint patron d’Italie, saint François d’Assise, et ceci<br /> renforce mon lien spirituel avec cette terre, où sont – comme vous le savez – les origines de ma famille. Mais Jésus nous a appelés à faire partie d’une nouvelle famille : son Eglise, cette<br /> famille de Dieu, en cheminant ensemble sur le chemin de l’Evangile. Que le Seigneur vous bénisse, que la Madone vous protège. N’oubliez pas : le Seigneur ne se lasse jamais de pardonner ! C’est<br /> nous qui nous lassons de demander le pardon.<br /> <br /> <br /> Bon dimanche et bon déjeuner !<br /> <br /> <br /> Traduction de Zenit, Anne Kurian<br />
Répondre
A
<br /> Paroles du pape François avant l’angélus<br /> <br /> <br /> Frères et sœurs, bonjour !<br /> <br /> <br /> Après la première rencontre de mercredi dernier, aujourd’hui à nouveau je peux adresser mon salut à tous ! Et je suis heureux de le faire un dimanche, le jour du Seigneur ! C’st beau et important<br /> pour nous chrétiens de nous rencontrer le dimanche, de nous saluer, de nous parler comme maintenant, ici, sur cette place. Une place qui, grâce aux médias, a les dimensions du monde.<br /> <br /> <br /> En ce cinquième dimanche de carême, l’Evangile nous présente l’épisode de la femme adultère (cf. Jn 8,1-11), que Jésus sauve de la condamnation à mort. L’attitude de Jésus touche : nous<br /> n’entendons pas des paroles de mépris, nous n’entendons pas des paroles de condamnation, mais seulement des paroles d’amour, de miséricorde, qui invitent à la conversion. "Moi non plus, je ne te<br /> condamne pas. Va, et désormais ne pèche plus !" (v. 11). Eh!, frères et soeurs, le visage de Dieu est celui d’un père miséricordieux, qui prend toujours patience. Avez-vous pensé à la<br /> patience de Dieu, la patience qu’il a avec chacun de nous ? C’est sa miséricorde. Il prend toujours patience, patience avec nous, nous comprend, s’occupe de nous, il ne se lasse pas de nous<br /> pardonner si nous savons revenir à lui avec le cœur contrit. "Grande est la miséricorde du Seigneur", dit le psaume.<br /> <br /> <br /> Ces jours-ci, j’ai pu lire un livre d’un cardinal – le cardinal Kasper, un théologien très bien, un bon théologien – sur la miséricorde. Ce livre m’a fait tant de bien, mais ne croyez pas que je<br /> fais de la publicité pour les livres de mes cardinaux ! Ce n’est pas cela ! Il m’a fait tant de bien, tant de bien … Le cardinal Kasper disait que faire l’expérience de la miséricorde change<br /> tout. C’est la plus belle parole que nous puissions  entendre: elle change le monde. Un peu de miséricorde rend le monde moins froid et plus juste. Il nous faut bien comprendre cette<br /> miséricorde de Dieu, ce Père miséricordieux qui a tant de patience … Rappelons-nous du prophète Isaïe, qui affirmait que même si nos péchés étaient rouges comme l’écarlate, l’amour de Dieu les<br /> rendrait blancs comme la neige. C’est beau, la miséricorde!<br /> <br /> <br /> Je me souviens qu’à peine nommé évêque, en 1992, la Vierge de Fatima est arrivée à Buenos Aires et l’on a fait une grande messe pour les malades. Je suis allé confesser, durant cette messe. Et<br /> presqu’à la fin de la messe, je me suis levé parce que je devais administrer une confirmation. Une dame âgée est venue vers moi, humble, très humble, à plus de 80 ans. Je l’ai regardée et je lui<br /> ai dit : "Grand-mère – parce que chez nous on s’adresse  ainsi aux personnes âgées : grand-mère – vous voulez vous confesser ?". "Oui", m’a-t-elle dit. "Mais si vous n’avez pas péché<br /> …". Et elle m’a dit : "Nous faisons tous des péchés …". "Mais peut-être que le Seigneur ne les pardonne pas …". "Le Seigneur pardonne tout", m’a-t-elle dit, assurée. "Mais comment le savez-vous,<br /> madame ?". "Si le Seigneur ne pardonnait pas tout, le monde n’existerait pas". J’ai eu envie de lui demander: "Mais dites-moi, madame, vous avez étudié à la Grégorienne ?" (l’université<br /> pontificale confiée aux jésuites, à Rome, ndlr), parce que c’est la sagesse que donne l’Esprit-Saint : la sagesse intérieure sur la miséricorde de Dieu.<br /> <br /> <br /> N’oublions pas cette parole : Dieu ne se lasse jamais de pardonner, jamais ! "Eh, père, quel est le problème?". Eh, le problème est que nous, nous nous lassons, nous ne voulons pas, nous nous<br /> lassons de demander pardon. Il ne se lasse jamais de pardonner, mais nous, parfois, nous nous lassons de demander pardon. Ne nous lassons jamais, ne nous lassons jamais ! Il est le Père amoureux<br /> qui toujours pardonne, qui a un cœur de miséricorde pour nous tous. Et nous aussi, apprenons à être miséricordieux avec tous. Invoquons l’intercession de la Vierge qui a eu entre ses bras la<br /> Miséricorde de Dieu fait homme.<br /> <br /> <br /> A présent prions tous ensemble l’Angélus.<br /> <br /> <br /> Après la prière de l’angélus<br /> <br /> <br /> (En italien)<br /> <br /> <br /> J’adresse un salut cordial à tous les pèlerins. Merci de votre accueil et de vos prières. Priez pour moi, je vous le demande. J’embrasse à nouveau les fidèles de Rome, et vous tous, qui venez de<br /> divers endroits de l’Italie et du monde, ainsi que tous ceux qui sont unis à nous grâce aux moyens de communications. J’ai choisi le nom du saint patron d’Italie, saint François d’Assise, et ceci<br /> renforce mon lien spirituel avec cette terre, où sont – comme vous le savez – les origines de ma famille. Mais Jésus nous a appelés à faire partie d’une nouvelle famille : son Eglise, cette<br /> famille de Dieu, en cheminant ensemble sur le chemin de l’Evangile. Que le Seigneur vous bénisse, que la Madone vous protège. N’oubliez pas : le Seigneur ne se lasse jamais de pardonner ! C’est<br /> nous qui nous lassons de demander le pardon.<br /> <br /> <br /> Bon dimanche et bon déjeuner !<br /> <br /> <br /> Traduction de Zenit, Anne Kurian<br />
Répondre