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Elle se dresse, fière et guerrière
Ma cathédrale Ste Cécile.
Elle veille sur ce beau pays tarnais
où Dieu m'a fait pousser.
Elle est si majestueuse et belle,
Vêtue de briques roses,
Pour rappeler à tous que ce sont les petits
Qui font de grandes choses.
Elle brandit vers le ciel son clocher massif
Comme pour indiquer le chemin vers le Ciel
Indiquer au pécheur la voie du vrai Salut.
Elle est forteresse imprenable, signe de majesté,
Comme pour rendre hommage à Celui qui est son âme.
Elle traverse les siècles au milieu des tempêtes,
Fidèle à sa mission d'unir la terre au ciel
Pour que chaque homme, enfin
trouve en elle la raison du verbe aimer.
Elle subit les outrages et les assauts du temps,
comme si les forces de ténèbres pouvaient gagner sur elle.
Sûrs des fondations, elle vaincra la nuit des divisions,
En faisant de chacun des Dieux en gestation.
C'est en elle que ma vie, au service du monde,
Un jour a commencé par un "oui" consenti.
Le prêtre que je suis y a été enfanté.
Elle est bien une Mère, puisque je suis son fils.
En elle, je retrouve le sens de mon combat :
Aimer Jésus sans relâche, afin de le faire aimer sans retard.
Ma cathédrale Ste Cécile.
Elle veille sur ce beau pays tarnais
où Dieu m'a fait pousser.
Elle est si majestueuse et belle,
Vêtue de briques roses,
Pour rappeler à tous que ce sont les petits
Qui font de grandes choses.
Elle brandit vers le ciel son clocher massif
Comme pour indiquer le chemin vers le Ciel
Indiquer au pécheur la voie du vrai Salut.
Elle est forteresse imprenable, signe de majesté,
Comme pour rendre hommage à Celui qui est son âme.
Elle traverse les siècles au milieu des tempêtes,
Fidèle à sa mission d'unir la terre au ciel
Pour que chaque homme, enfin
trouve en elle la raison du verbe aimer.
Elle subit les outrages et les assauts du temps,
comme si les forces de ténèbres pouvaient gagner sur elle.
Sûrs des fondations, elle vaincra la nuit des divisions,
En faisant de chacun des Dieux en gestation.
C'est en elle que ma vie, au service du monde,
Un jour a commencé par un "oui" consenti.
Le prêtre que je suis y a été enfanté.
Elle est bien une Mère, puisque je suis son fils.
En elle, je retrouve le sens de mon combat :
Aimer Jésus sans relâche, afin de le faire aimer sans retard.