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 Le presbytère virtuel d'un prêtre

Le presbytère virtuel d'un prêtre

Site d'un prêtre catholique engagé au cœur du monde... Voici mon presbytère virtuel, sans porte ni sonnette. Entrez, et venez voir ! Vous voulez voir à quoi ça ressemble un cyber curé ? Venez donc faire un tour chez moi ! La vie c'est trop important pour ne pas la réussir ! .... . . C'est aussi mon objectif ... Pas vous ?


Prière pour un incroyant qui cherche Dieu

Publié par Miniritou sur 30 Juillet 2017, 10:34am

Catégories : #Textes pour prier, #incroyant, #chercher Dieu, #prière pour un incroyant

 

Seigneur, il ne te connaît pas, A. , mais toi, tu le connais depuis toujours.

Il est ton fils bien aimé, et dans son cœur, son grand désir, vrai et sincère, c’est de te connaître.

 

Je ne le connais pas, moi, mais je crois qu’il te cherche, en vérité,

qu’il espère te trouver, te reconnaître, et t’apprivoiser.

T’approcher, sans t’effaroucher, s’approcher sans être effarouché.

 

Tant de visages ont croisé son visage, et le tien est resté anonyme.

Tant de mains ont guidé ses mains, et les tiennes ne l’ont pas touché.

Tant de paroles ont éclairé son chemin, et la tienne est restée pou lui inaudible.

Tant d’amours ont réjoui son cœur, et ton amour n’a pas percé son être.

Tant de joies ont illuminé son existence, et ta joie n’a pas éveillé en lui ta présence.

Tant de rencontres ont jalonné sa vie, et ta rencontre  est restée inaccessible.

 

Mets sur sa route, Seigneur, des visages, et des mains, des paroles et des amours, des joies et des rencontres capables de lui révéler que tu es vivant, présent, capable de soulever sa vie, pour que ta vie coule dans ses veines et dans son cœur, comme un fleuve intarissable de vie en abondance.

 

Amen

Prière pour un incroyant qui cherche Dieu
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A
<br /> <br /> blaise Cendras<br /> <br /> <br /> Seigneur, c'est aujourd'hui le jour de votre Nom,<br /> <br /> J'ai lu dans un vieux livre la geste de votre Passion<br /> <br /> Et votre angoisse et vos efforts et vos bonnes paroles<br /> <br /> Qui pleurent dans un livre, doucement monotones.<br /> <br /> Un moine d'un vieux temps me parle de votre mort.<br /> <br /> Il traçait votre histoire avec des lettres d'or<br /> <br /> Dans un missel, posé sur ses genoux,<br /> <br /> Il travaillait pieusement en s'inspirant de Vous.<br /> <br /> A l'abri de l'autel, assis dans sa robe blanche,<br /> <br /> Il travaillait lentement du lundi au dimanche.<br /> <br /> Les heures s'arrêtaient au seuil de son retrait.<br /> <br /> Lui, s'oubliait, penché sur votre portrait.<br /> <br /> A vêpres, quand les cloches psalmodiaient dans la tour,<br /> <br /> Le bon frère ne savait si c'était son amour<br /> <br /> Ou si c'était le Vôtre, Seigneur, ou votre Père<br /> <br /> Qui battait à grands coups les portes du monastère.<br /> <br /> Je suis comme ce bon moine, ce soir, je suis inquiet.<br /> <br /> Dans la chambre à côté, un être triste et muet<br /> <br /> Attend derrière la porte, attend que je l'appelle !<br /> <br /> C'est Vous, c'est Dieu, c'est moi, - c'est l'Eternel.<br /> <br /> Je ne Vous ai pas connu alors, - ni maintenant.<br /> <br /> Je n'ai jamais prié quand j'étais un petit enfant.<br /> <br /> Ce soir pourtant je pense à Vous avec effroi.<br /> <br /> Mon âme est une veuve en deuil au pied de votre Croix ;<br /> <br /> Mon âme est une veuve en noir, - c'est votre Mère<br /> <br /> Sans larme et sans espoir, comme l'a peinte Carrière.<br /> <br /> Je connais tous les Christs qui pensent dans les musées ;<br /> <br /> Mais Vous marchez, Seigneur, ce soir à mes côtés.<br /> <br /> Je descends à grands pas vers le bas de la ville,<br /> <br /> Le dos voûté, le coeur ridé, l'esprit fébrile.<br /> <br /> Votre flanc grand-ouvert est comme un grand soleil<br /> <br /> Et vos mains tout autour palpitent d'étincelles.<br /> <br /> Les vitres des maisons sont toutes pleines de sang<br /> <br /> Et les femmes, derrière, sont comme des fleurs de sang,<br /> <br /> D'étranges mauvaises fleurs flétries, des orchidées,<br /> <br /> Calices renversés ouvert sous vos trois plaies.<br /> <br /> Votre sang recueilli, elles ne l'ont jamais bu.<br /> <br /> Elles ont du rouge aux lèvres et des dentelles au cul.<br /> <br /> Les fleurs de la passion sont blanches comme des cierges,<br /> <br /> Ce sont les plus douces fleurs au Jardin de la Bonne Vierge.<br /> <br /> C'est à cette heure-ci, c'est vers la neuvième heure<br /> <br /> Que votre tête, Seigneur, tomba sur votre Coeur.<br /> <br /> Je suis assis au bord de l'océan<br /> <br /> Et je me remémore un cantique allemand,<br /> <br /> Où il est dit, avec des mots très doux, très simples, très purs,<br /> <br /> La beauté de votre Face dans la torture.<br /> <br /> Dans une église, à Sienne, dans un caveau,<br /> <br /> J'ai vu la même Face, au mur, sous un rideau.<br /> <br /> Et dans un ermitage, à Bourrié-Wladislasz,<br /> <br /> Elle est bossuée d'or dans une châsse.<br /> <br /> De troubles cabochons sont à la place des yeux<br /> <br /> Et des paysans baisent à genoux Vos yeux.<br /> <br /> Sur le mouchoir de Véronique Elle est empreinte<br /> <br /> Et c'est pourquoi Sainte Véronique est votre sainte.<br /> <br /> C'est la meilleure relique promenée par les champs,<br /> <br /> Elle guérit tous les malades, tous les méchants.<br /> <br /> Elle fait encore mille et mille autres miracles,<br /> <br /> Mais je n'ai jamais assisté à ce spectacle.<br /> <br /> Peut-être que la foi me manque, Seigneur, et la bonté<br /> <br /> Pour voir ce rayonnement de votre Beauté.<br /> <br /> Pourtant, Seigneur, j'ai fait un périlleux voyage<br /> <br /> Pour contempler dans un béryl l'intaille de votre image.<br /> <br /> Faites, Seigneur, que mon visage appuyé dans les mains<br /> <br /> Y laisse tomber le masque d'angoisse qui m'étreint.<br /> <br /> Faites, Seigneur, que mes deux mains appuyées sur ma bouche<br /> <br /> N'y lèchent pas l'écume d'un désespoir farouche.<br /> <br /> Je suis triste et malade. Peut-être à cause de Vous,<br /> <br /> Peut-être à cause d'un autre. Peut-être à cause de Vous.<br /> <br /> Seigneur, la foule des pauvres pour qui vous fîtes le Sacrifice<br /> <br /> Est ici, parquée, tassée, comme du bétail, dans les hospices.<br /> <br /> D'immenses bateaux noirs viennent des horizons<br /> <br /> Et les débarquent, pêle-mêle, sur les pontons.<br /> <br /> Il y a des Italiens, des Grecs, des Espagnols,<br /> <br /> Des Russes, des Bulgares, de Persans, des Mongols.<br /> <br /> Ce sont des bêtes de cirque qui sautent les méridiens.<br /> <br /> On leur jette un morceau de viande noire, comme à des chiens.<br /> <br /> C'est leur bonheur à eux que cette sale pitance.<br /> <br /> Seigneur, ayez pitié des peuples en souffrance.<br /> <br /> Seigneur, dans le ghetto, grouille la tourbe des Juifs<br /> <br /> Ils viennent de Pologne et sont tous fugitifs.<br /> <br /> Je le sais bien, ils ont fait ton Procès ;<br /> <br /> Mais je t'assure, ils ne sont pas tout à fait mauvais.<br /> <br /> Ils sont dans des boutiques sous des lampes de cuivre,<br /> <br /> Vendent des vieux habits, des armes et des livres.<br /> <br /> Rembrandt aimait beaucoup les peindre dans leurs défroques.<br /> <br /> Moi, j'ai ce soir marchandé un microscope.<br /> <br /> Hélas! Seigneur, Vous ne serez plus là, après Pâques !<br /> <br /> Seigneur, ayez pitié des Juifs dans les baraques.<br /> <br /> Seigneur, les humbles femmes qui vous accompagnèrent à Golgotha<br /> <br /> Se cachent. Au fond des bouges, sur d'immondes sophas,<br /> <br /> Elles sont polluées de la misère des hommes.<br /> <br /> Des chiens leur ont rongé les os, et dans le rhum<br /> <br /> Elles cachent leur vice endurci qui s'écaille.<br /> <br /> Seigneur, quand une de ces femmes parle, je défaille.<br /> <br /> Je voudrais être Vous pour aimer les prostituées.<br /> <br /> Seigneur, ayez pitié des prostituées.<br /> <br /> Seigneur, je suis dans le quartier des bons voleurs,<br /> <br /> Des vagabonds, des va-nu-pieds, des recéleurs.<br /> <br /> Je pense aux deux larrons qui étaient avec vous à la Potence,<br /> <br /> Je sais que vous daignez sourire à leur malchance.<br /> <br /> Seigneur, l'un voudrait une corde avec un noeud au bout,<br /> <br /> Mais ça n'est pas gratis, la corde, ça coûte vingt sous.<br /> <br /> Il raisonnait comme un philosophe, ce vieux bandit.<br /> <br /> Je lui ai donné de l'opium pour qu'il aille plus vite en paradis.<br /> <br /> Je pense aussi aux musiciens des rues,<br /> <br /> Au violoniste aveugle, au manchot qui tourne l'orgue de Barbarie,<br /> <br /> A la chanteuse au chapeau de paille avec des roses de papier ;<br /> <br /> Je sais que ce sont eux qui chantent durant l'éternité.<br /> <br /> Seigneur, faites-leur l'aumône, autre que de la lueur des becs de gaz,<br /> <br /> Seigneur, faites-leur l'aumône de gros sous ici-bas.<br /> <br /> Seigneur, quand vous mourûtes, le rideau se fendit,<br /> <br /> Ce qu'on vit derrière, personne ne l'a dit.<br /> <br /> La rue est dans la nuit comme une déchirure<br /> <br /> Pleine d'or et de sang, de feu et d'épluchures.<br /> <br /> Ceux que vous avez chassé du temple avec votre fouet,<br /> <br /> Flagellent les passants d'une poignée de méfaits.<br /> <br /> L'Etoile qui disparut alors du tabernacle,<br /> <br /> Brûle sur les murs dans la lumière crue des spectacles.<br /> <br /> Seigneur, la Banque illuminée est comme un coffre-fort,<br /> <br /> Où s'est coagulé le Sang de votre mort.<br /> <br /> Les rues se font désertes et deviennent plus noires.<br /> <br /> Je chancelle comme un homme ivre sur les trottoirs.<br /> <br /> J'ai peur des grands pans d'ombre que les maisons projettent.<br /> <br /> j'ai peur. Quelqu'un me suit. Je n'ose tourner la tête.<br /> <br /> Un pas clopin-clopant saute de plus en plus près.<br /> <br /> J'ai peur. J'ai le vertige. Et je m'arrête exprès.<br /> <br /> Un effroyable drôle m'a jeté un regard<br /> <br /> Aigu, puis a passé, mauvais comme un poignard.<br /> <br /> Seigneur, rien n'a changé depuis que vous n'êtes plus Roi.<br /> <br /> Le mal s'est fait une béquille de votre Croix.<br /> <br /> Je descends les mauvaises marches d'un café<br /> <br /> Et me voici, assis, devant un verre de thé.<br /> <br /> Je suis chez des Chinois, qui comme avec l<br /> <br /> <br /> <br />
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A
<br /> <br /> bonjour  sympa cette priere je trouve mais en faite j ai une question certe on le sais au fond de nous dieu existe certe mais qu attends t il pour nous repondre  de tant de questions de<br /> tant de prieres de tant  d injustices  de violence de guerre  de maladies de souffrance qu attends t il pour donner juste un signe  un seul signe suffirai a changer la face du<br /> monde donc pourquoi attendre que des millions de gens d enfants et de vieillards meurs dans un apocalyps pour se manifester pourquoi tant de mysteres de pourquoi du pourquoi ??? moi je veux bien<br /> croire a dieu mais pourquoi lui ne croit pas en nous en se manifestant juste une seule fois en 2010 par exemple pour noel  nous on veut croire en lui mais nous sommes fragile humain on peu<br /> perdre confiance quand le malheur nous accable donc ou est le signe la clé ne seraisse que dans la mort ?? c est domage je trouve car la vie est si belle non ? donc pourquoi attendre que les<br /> hommes detruisent la terre pour se manifester ?? je vous le demande mon pere ??<br /> <br /> <br /> <br />
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A
<br /> <br /> Du poète brésilien Ademar De Barros<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> Une nuit, j’ai eu un songe. <br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> J’ai<br /> rêvé que je marchais le long d’une plage, en<br /> compagnie du Seigneur.<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> Dans le ciel apparaissaient, les unes après les autres,<br /> toutes les scènes de ma vie.<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> J’ai<br /> regardé en arrière et j’ai vu qu’à chaque<br /> scène de ma vie, il y avait deux paires de traces sur le sable:<br /> L’une était la mienne, l’autre était celle du Seigneur.<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> Ainsi nous continuions à marcher, jusqu’à ce que tous<br /> les jours de ma vie aient défilé devant moi.<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> Alors je me suis arrêté et j’ai regardé en arrière.<br /> J’ai remarqué qu’en certains endroits, il n’y avait<br /> qu’une seule paire d’empreintes, et cela correspondait<br /> exactement avec les jours les plus difficiles de ma vie,<br /> les jours de plus grande angoisse, de plus grande peur<br /> et aussi de plus grande douleur.<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> Je l’ai donc interrogé : " Seigneur… tu m’as dit que tu<br /> étais avec moi tous les jours de ma vie et j’ai accepté<br /> de vivre avec Toi. Mais j’ai remarqué que dans les pires<br /> moments de ma vie, il n’y avait qu’une seule trace de pas.<br /> Je ne peux pas comprendre que tu m’aies laissé seul<br /> aux moments où j’avais le plus besoin de Toi. "<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> Et le Seigneur répondit : " Mon fils, tu m’es tellement<br /> précieux ! Je t’aime ! Je ne t’aurais jamais abandonné,<br /> pas même une seule minute !<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> Les jours où tu n’as vu qu’une seule trace de pas sur le<br /> sable, ces jours d’épreuves et de souffrances, eh bien:<br /> c’était moi qui te portais. "<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> <br />
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L
<br /> <br /> Un des moments clefs dans la conversion d’Édith Stein du Judaïsme au Catholicisme se passa un après-midi en milieu de semaine. Elle alla dans une église Catholique pour voir comment c’était, et<br /> comme elle s’asseyait là en silence, une femme plus âgée entra pour passer quelques moments avec le Christ devant le Saint Sacrement. Elle avait un sac d’épicerie dans sa main et se trouvait<br /> manifestement sur le chemin du retour à la maison pour préparer le dîner. Pour la jeune Édith, qui se débattait toujours avec sa foi en Dieu, ce fut un exemple de ce qu’est la foi catholique dans<br /> sa réalité de tous les jours. L’exemple de cette femme contribua à ouvrir le cœur et l’intelligence d’Édith pour recevoir le don de la foi. Il est probable que cette femme ne sut jamais le rôle<br /> important que son exemple joua dans la formation de cette future sainte et patronne de l’Europe, mais sa foi authentique fut juste ce qu’Édith avait besoin de voir. Le témoignage de notre vie est<br /> essentiel pour ceux qui nous entourent, que nous en voyions ou entendions les conséquences ou non. Nous pouvons être une occasion de grâce, ou nous pouvons être, sur le chemin de certains, un<br /> obstacle qui retarde leur arrivée là où Dieu veut les mener<br /> <br /> <br /> Ce n'est ni être aveuglée par ma religion , c'est ni être prétentieuse de dire que nous voulons faire pour les autres, c'est tout simplement  dire que le Seigneur est là et que nous y<br /> croyons, c'est notre foi en Dieu, et quand on ressent que le Seigneur est là près de nous pour nous aider par un simple geste ou d'essayer de comprendre pourquoi , comme Judith, une simple visite<br /> dans l'église ou en prière, cela interpelle quand même. Moi-mpême par moment je me pose aussi des questions, ce "pourquoi" tout le temps revient surtout en ce moment mais quand je lis des<br /> témoignage ou que je vois des gens plus faibles que moi bien je me dis, c'est le Seigneur qui te parler et relève toi et marche !!!!<br /> <br /> <br /> <br />
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A
<br /> <br /> Laure,<br /> <br /> <br /> Je sui assai d’accord avec Charlotte.<br /> <br /> <br /> Je sais que tes intentions sont sincères et que, je pense, tu souhaites répandre que l’amour autour de<br /> toi.<br /> <br /> <br /> La prière de Xavier ta interpellé et ton désir de me venir en aide par la prière me touche beaucoup et je te dis encore<br /> merci.<br /> <br /> <br /> Mais attention de ne pas t’aveuglé par ta croyance. Lorsque je te lis je ressens une certaine prétention… ‘’je détient<br /> la seule et unique vérité et je viens en aide à celui qui ne sais pas.. celui qui est perdu…’’ Je pense que dieu (dans l’éventualité de son existence) se foutrai de savoir si oui ou non on crois<br /> en lui mais plus que tout son désir serai que l’on crois en nous, Hommes…<br /> <br /> <br /> Tu dis que je suis perdu… je te réponds que non, pas le moindre du monde.<br /> <br /> <br /> Je te site ; ‘’…Son amour transformera le gris, le noir en un éclat de couleurs<br /> d'espoir…’’<br /> <br /> <br /> Ma vie n’est pas remplis de gris ni de noir et’’ l’éclat de couleurs d’espoir’’ comme tu dis, je le vois<br /> tout les matins dans les yeux de mon enfant, des gens que j’aime et qui m’entoures ainsi que ces belles personnes qui croisent mon chemin à l’exemple de Xavier.<br /> <br /> <br /> Nous avons dialogué sur Facebook, nous le faisons dés que nous le pouvons.<br /> <br /> <br /> Je ne vais pas raconter en détail notre conversation mais je lui ai dis, que j’aimerai plus que tout au<br /> monde, que dieu, ou du moins l’image que je me fais de lui, existe.<br /> <br /> <br /> Il ma répondu qu’il fera une prière pour moi… je lui ai dis ; fait là maintenant et cela à donné ce<br /> texte…<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> Un texte de Ibn Arabi, maître soufi (1165-1240) me viens à l’esprit :<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> " Mon cœur est devenu capable d'accueillir toute forme :<br /> <br /> <br /> Il est un pâturage pour les gazelles, une abbaye pour les moines.<br /> <br /> <br /> Il est un temple pour les idoles,<br /> <br /> <br /> la Kaaba pour qui en fait le tour.<br /> <br /> <br /> Il est les Tables de la Torah<br /> <br /> <br /> et aussi les feuillets du Coran !<br /> <br /> <br /> Je crois en la religion de L'Amour,<br /> <br /> <br /> où que se dirigent ses caravanes.<br /> <br /> <br /> Car l'Amour est ma religion<br /> <br /> <br /> et ma foi. "<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> Ibn Arabi,<br /> <br /> <br /> maître soufi<br /> <br /> <br /> ( 1165-1240)<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> Cordialement.<br /> <br /> <br /> <br />
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